Dictionnaire anatomie
- TUBULE SÉMINIFÈRE
- Petits conduits regroupés en lobules, qui parcourent le testicule et à l'intérieur desquels a lieu la spermatogenèse, ou production de spermatozoïdes. Ces tubules se regroupent pour déboucher dans les tubules séminifères droits, puis dans les ductules efférents qui se terminent dans l'épididyme.
- TUMÉFACTION MAMMAIRE
- Dans les jours qui suivent la naissance, les seins du nouveau-né, quel que soit son sexe, présentent un gonflement provoqué par la sécrétion maternelle d'strogènes juste avant l'accouchement. Il existe parfois une sécrétion lactée appelée « lait de sorcière ».
- TUMEUR BÉNIGNE DE LA PEAU
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Les tumeurs cutanées bénignes sont des lésions fréquentes qui peuvent avoir pour origine l'épiderme, les annexes ou le derme et les tissus sous-cutanés, ainsi que les structures présentes dans le derme, comme les nerfs et les vaisseaux sanguins. Parmi les plus fréquents, figurent la kératose séborrhéique, les kystes épidermiques, les lipomes, le pilomatrixome, les hémangiomes, etc.
? Symptomatologie
La kératose séborrhéique est extrêmement fréquente dans l'ensemble de la population.
Il s'agit d'une prolifération épidermique asymptomatique, qui apparaît avec l'âge sous forme de papules pigmentées (de couleur marron ou noirâtre), à la surface veloutée au toucher, localisées sur la tête et le tronc.
Les kystes épidermiques (infundibulaires, sébacés) sont des formations kystiques de kératine qui se présentent sous la forme de nodules asymptomatiques, bien qu'ils soient susceptibles de se surinfecter.
Les lipomes sont des lésions nodulaires, molles, formées par la prolifération de cellules adipeuses dans le tissu cellulaire sous-cutané.
Le pilomatrixome est la tumeur des annexes la plus fréquente.
Les hémangiomes sont des lésions produites par la prolifération anormale de vaisseaux sanguins cutanés. Généralement, ils sont présents dès la naissance ou apparaissent au cours des premiers mois de vie.
? Diagnostic
Le diagnostic peut généralement être établi à partir des antécédents cliniques, de l'observation et de l'examen physique. L'analyse anatomopathologique permet de poser un diagnostic certain.
? Traitement
* Dans la plupart des cas, aucun traitement n'est nécessaire, sauf si des complications surviennent.
* Certaines lésions peuvent être traitées par chirurgie ou par laser pour des raisons esthétiques. - TUMEUR CARDIAQUE
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Il s'agit généralement d'une métastase d'un cancer du sein, du poumon ou d'un mélanome.
Habituellement, c'est le péricarde qui est atteint.
La tumeur primitive la plus fréquente est le myxome.
? Symptomatologie
Les tumeurs métastatiques peuvent être asymptomatiques ou provoquer une péricardite, une tamponnade cardiaque, une insuffisance cardiaque et des arythmies.
Les myxomes siègent généralement dans l'atrium gauche et provoquent les symptômes de la sténose mitrale, un embolisme systémique, de la fièvre et une atteinte de l'état général.
? Diagnostic
On a recours à l'échocardiographie, à la tomodensitométrie et à la résonance magnétique nucléaire.
? Traitement
* En cas de métastases, le traitement est habituellement palliatif et comprend un drainage du liquide péricardique, lorsqu'il existe des signes de tamponnade cardiaque.
* Le traitement du myxome est une résection chirurgicale de la tumeur. - TUMEUR CÉRÉBRALE
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Chez l'adulte, les tumeurs secondaires (métastases) sont les plus fréquentes. En règle générale, elles se développent à partir d'un cancer du poumon, du sein, du côlon, de la glande thyroïde, ou d'un mélanome.
Les gliomes, qui apparaissent au niveau du système nerveux central, sont les tumeurs primaires les plus courantes. Ils se forment à partir des cellules de la glie et leur degré de malignité est variable.
La glie se compose essentiellement de trois groupes de cellules, les astrocytes, la microglie et l'oligodendroglie, qui jouent un rôle de soutien, de protection et de nutrition des neurones, en plus de participer au développement du cerveau.
L'astrocytome anaplasique et le glioblastome multiforme (ou polymorphe) sont les gliomes malins qui surviennent le plus fréquemment chez l'adulte.
Chez l'enfant, les astrocytomes, les médulloblastomes (développés à partir du neuroectoderme primitif) et les craniopharyngiomes (développés à partir du reliquat vestigial du saccule hypophysaire - poche de Rathke -, structure qui participe au développement embryonnaire de l'hypophyse) se développent fréquemment.
Les tumeurs cérébrales ne développent pas de métastases en dehors du crâne, même si elles ont la capacité de se disséminer par le liquide cérébrospinal et de s'infiltrer localement.
? Symptomatologie
Les signes et les symptômes généraux comprennent des céphalées, des nausées, des vomissements, une anorexie (perte de l'appétit) et des changements au niveau de la personnalité, de l'humeur, des capacités mentales et de la concentration.
Les tumeurs cérébrales sont la première cause d'épilepsie chez les personnes âgées de 35 à 50 ans. Chez environ 20% des patients atteints de tumeurs cérébrales, le symptôme principal est la survenue de convulsions. Elles se produisent des mois ou des années avant que le diagnostic clinique ne soit établi lorsque les tumeurs sont d'évolution lente.
? Diagnostic
Le diagnostic est établi au moyen d'une tomographie axiale assistée par ordinateur et d'une IRM (imagerie par résonance magnétique).
Le diagnostic définitif est réalisé au moyen de l'analyse anatomopathologique de la lésion.
? Traitement
* Les méthodes thérapeutiques les plus fréquemment utilisées en cas de tumeur primaire sont la chirurgie et la radiothérapie. La chirurgie permet d'établir un diagnostic histologique et de faire baisser la pression intra-crânienne. L'élimination complète de la tumeur par voie chirurgicale est rare, c'est pourquoi un traitement postérieur à base de radiothérapie est généralement nécessaire.
* En règle générale, les métastases sont multiples et doivent être traitées par radiothérapie. - TUMEUR DU SAC VITELLIN
- Voir : CANCER DU TESTICULE
- TUMEUR MÉDULLAIRE
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Les tumeurs de la moelle spinale peuvent être intra-médullaires ou extra-médullaires. Les tumeurs intra-médullaires les plus fréquentes sont les épendymomes, les astrocytomes ou les glioblastomes, alors que les tumeurs extra-médullaires les plus courantes sont les métastases (cancer du sein, de la prostate, etc.), les lymphomes, les méningiomes et les neurofibromes.
? Symptomatologie
Les manifestations des tumeurs intra-médullaires prennent différentes formes, qui varient en fonction des structures touchées. Des altérations de la sensibilité et des réflexes, une faiblesse musculaire et une atrophie peuvent notamment apparaître.
Les tumeurs extra-médullaires sont à l'origine d'un tableau clinique de compression médullaire et de compression des racines nerveuses (douleur qui irradie la zone innervée correspondante, faiblesse musculaire, altération des réflexes et de la sensibilité, etc.).
? Diagnostic
Le diagnostic est établi sur la base d'images obtenues par une tomographie axiale assistée par ordinateur et une IRM (imagerie par résonance magnétique).
? Traitement
* Le traitement de première intention est chirurgical, car il a pour effet de permettre une décompression médullaire. Il est généralement associé à une radiothérapie. - TUMEUR OSSEUSE
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Les tumeurs osseuses les plus fréquentes sont secondaires (métastases).
Parmi les tumeurs primaires, les lésions pseudo-tumorales et les tumeurs bénignes sont plus courantes que les tumeurs malignes.
Le myélome est la tumeur osseuse maligne la plus fréquente chez l'adulte, alors que le sarcome d'Ewing est la plus courante chez l'enfant.
Les lésions métastasiques sont plus fréquentes chez les personnes de plus de 50 ans. Environ 50% de ces lésions touchent la colonne vertébrale (ou rachis).
La plupart du temps, les métastases osseuses ont pour origine des tumeurs malignes du sein, de la prostate, du poumon, de l'estomac, du rein et de la glande thyroïde.
Chez l'enfant, le neuroblastome est le type de tumeur le plus courant.
? Symptomatologie
Les symptômes ne sont pas spécifiques. Une douleur persistante, une tuméfaction et une limitation fonctionnelle peuvent apparaître.
? Diagnostic
Différents schémas radiologiques peuvent être observés, en fonction de la localisation (épiphyse, diaphyse ou métaphyse), de l'os touché et du type de tumeur.
La tomographie axiale assistée par ordinateur et l'IRM fournissent des informations complètes sur l'extension intra-osseuse et extra-osseuse de la lésion.
L'angiographie donne des informations sur la vascularisation de la tumeur.
Une scintigraphie osseuse totale est nécessaire pour évaluer le degré d'extension de certaines tumeurs métastasiques.
Le diagnostic définitif est réalisé au moyen de l'analyse anatomopathologique d'une biopsie de la lésion.
? Traitement
* Le traitement dépend du type de tumeur, de son extension et de la portée générale de la maladie.
* Les solutions varient de la simple observation à l'amputation radicale de l'organe touché. - TUMEUR SCROTALE
- Voir : CANCER DU TESTICULE
- TUMEUR SECONDAIRE
- Voir : TUMEUR CÉRÉBRALE
- TUNIQUE EXTERNE (OU ADVENTICE)
- Couche externe des artères et des veines, qu'elle enveloppe complètement. Elle est constituée de tissu conjonctif et recouvre les terminaisons nerveuses et les capillaires sanguins arrivant aux artères et aux veines.
- TUNIQUE INTERNE (OU INTIMA)
- Revêtement interne de la paroi artérielle et veineuse, reposant sur une couche de tissu conjonctif.
- TUNIQUE MOYENNE
- Couche intermédiaire des trois couches formant la paroi artérielle. Elle est constituée de fibres musculaires lisses disposées de manière concentrique, particulièrement abondantes dans les artères de moyen calibre. Dans les artères de gros calibre, cette couche contient de nombreuses fibres élastiques capables de modifier le calibre artériel en fonction des changements de volume sanguin dus à la contraction et à la dilatation du cur.
- TUNIQUE MUQUEUSE
- Couche fine recouvrant l'intérieur de l'sophage et repliée sur elle-même dans certaines zones lorsque l'sophage est vide : elle est alors être sillonnée d'une multitude de plis longitudinaux. Elle présente une couleur blanchâtre dans sa partie supérieure et devient plus rosée dans le dernier tiers. La muqueuse sophagienne est formée de trois strates : la première, en contact direct avec la lumière de l'sophage, est un épithélium aplati polystratifié dont la structure est similaire à celle de la bouche et du pharynx. Sur la face externe de cet épithélium se trouve la lamina propria, formée par un tissu conjonctif lâche ; enfin, la tunique muqueuse inclut une fine couche de tissu musculaire lisse, appelée muqueuse musculaire (muscularis mucosae).
- TURNER (SYNDROME DE TURNER)
- Voir : AMÉNORRHÉE
- TURRICÉPHALIE
- Voir : CRANIOSYNOSTOSE. CRANIOSTÉNOSE
- TYMPAN
- Membrane fibreuse élastique séparant le méat acoustique externe de l'oreille moyenne. En vibrant, le tympan transmet les sons en provenance de l'extérieur aux osselets de l'ouïe situés dans la cavité tympanique, le premier, le malléus, étant adossé à sa surface interne.
- TYMPAN
- Voir : PERFORATION OU RUPTURE DU TYMPAN
- TYPE ASTHÉNIQUE (OU LONGILIGNE)
- Type correspondant au sujet de haute stature, aux membres longs, au thorax étroit, ayant peu de pannicule adipeux et une masse musculaire réduite.
- TYPE ATHLÉTIQUE
- Type correspondant au sujet doté d'une puissante masse musculaire, d'une cage thoracique très développée et d'une silhouette marquée par de larges épaules.
- TYPE BRÉVILIGNE
- Voir : TYPE PYCNIQUE (OU BRÉVILIGNE)
- TYPE CAUCASIEN
- Voir : TYPE LEUCODERME (OU CAUCASIEN)
- TYPE LEUCODERME (OU CAUCASIEN)
- Individu à la peau rose, à la stature moyenne ou haute, aux cheveux lisses de couleur variable, au nez droit, aux lèvres fines et aux yeux de couleur très variable.
- TYPE LONGILIGNE
- Voir : TYPE ASTHÉNIQUE (OU LONGILIGNE)
- TYPE MÉLANODERME
- Individu à la peau foncée (dont la couleur peut aller du marron au noir), à la stature haute, aux cheveux noirs et crépus, au nez épaté, aux lèvres proéminentes et au crâne allongé d'avant en arrière.
- TYPE MORPHOLOGIQUE
- Tous les êtres humains ont une structure identique et fonctionnent de la même façon, mais ils peuvent présenter de grandes différences en ce qui concerne leurs formes extérieures, la taille de leurs organes, etc. On peut ainsi distinguer, outre les caractéristiques raciales, trois principaux types morphologiques. Bien que bon nombre de ces caractéristiques soient transmises dans le patrimoine génétique, d'autres évoluent en fonction de l'alimentation, de l'activité physique, du mode de vie, etc.
- TYPE PYCNIQUE (OU BRÉVILIGNE)
- Type correspondant au sujet de petite stature présentant une accumulation de pannicule adipeux sur l'ensemble du corps et dont la silhouette se caractérise par un large abdomen.
- TYPE XANTHODERME
- Individu à la peau jaune, de petite stature, aux cheveux noirs et raides, aux yeux présentant un pli latéral appelé mongoloïde, au visage plat et camus et au crâne aplati d'avant en arrière.
- TYPOLOGIE RACIALE
- On définit comme race l'ensemble des individus d'une même espèce présentant une série de caractères héréditaires communs qui les distinguent des autres individus. Ces caractères sont la couleur de la peau, la forme et la couleur des cheveux et des yeux, la structure du crâne, la stature, etc., même si c'est surtout le premier d'entre eux, à savoir la couleur de la peau, qui est utilisé pour l'établissement des types raciaux fondamentaux. Chaque type racial peut se subdiviser en plusieurs sous-types.
- TYROSINÉMIES
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Ensemble de maladies du métabolisme de la tyrosine, acide aminé qui, s'il n'est pas métabolisé correctement, peut s'accumuler dans le sang et être à l'origine de dommages plus ou moins graves sur différents organes internes.
Il existe trois sous-types de cette maladie, qui sont fonction du niveau où le cycle métabolique de la tyrosine est interrompu :
- type I, dû à un déficit en fumaryl acétoacétase ;
- type II, dû à un déficit en tyrosine aminotransférase ;
- type III, dû à un déficit en hydroxyphényl pyruvate dioxygénase.
? Symptomatologie
La tyrosinémie de type I est la plus grave et peut se manifester sous forme aiguë au cours des premiers mois de la vie, avec une insuffisance hépatique sévère, ou sous forme chronique qui, en règle générale, apparaît pendant les premières années, en association avec une affection hépatique et rénale.
Dans les types II et III, des troubles du système nerveux, susceptibles d'entraîner un retard mental grave, peuvent se manifester.
? Diagnostic
Le diagnostic est établi par la constatation de l'augmentation du taux de tyrosine dans le sang et par la détection dans les urines des substances ou métabolites issues de l'interruption de leur cycle métabolique.
Il est également possible de quantifier l'enzyme en déficit au moyen de techniques spéciales.
? Traitement
* En règle générale, le traitement des tyrosinémies est basé sur un régime pauvre en aliments qui génèrent de la tyrosine, à quoi il faut ajouter une restriction en phénylalanine, puisque ces deux acides aminés ont des voies métaboliques semblables.
* En plus du régime, on a commencé à combiner des médicaments qui bloquent certains des métabolites toxiques produits à cause de l'accumulation de tyrosine.
* Pour les formes les plus graves, il peut être nécessaire d'avoir recours à une transplantation hépatique. - ULCÈRE
- Ouverture anormale de la peau, qui perd à cet endroit certaines des couches qui la composent ou leur totalité. La cicatrisation spontanée peut présenter de sérieuses difficultés. L'ulcère peut être dû à des modifications de l'irrigation sanguine dans certaines zones, en raison d'une compression de celles-ci, d'infections ou d'autres causes.
- ULCÈRE CORNÉEN
- Voir : KÉRATITE. ULCÈRES CORNÉENS
- ULCÈRE PEPTIQUE
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Lésion érosive de la muqueuse de l'estomac ou du duodénum, profonde (elle peut s'étendre jusqu'à la couche musculaire) et aux limites bien définies.
En règle générale, un ulcère peptique se présente comme la conséquence d'une altération de l'équilibre entre les facteurs agresseurs (acide chlorhydrique et enzymes digestives) et protecteurs de la muqueuse.
Dans la majeure partie des cas, elle est associée à une infection par Helicobacter pylori.
Les autres facteurs sont les anti-inflammatoires, l'altération de la sécrétion de gastrine, les facteurs génétiques et le tabagisme.
L'ulcère duodénal est le plus courant. Il touche environ 10% de la population. Dans la plupart des cas, il est localisé au niveau de la première partie du duodénum.
Les ulcères gastriques se divisent en trois catégories, en fonction de leur localisation :
- type I : localisés sur le corps ;
- type II : localisés sur le corps et associés à des lésions duodénales ;
- type III : prépyloriques.
? Symptomatologie
La maladie évolue avec une cicatrisation spontanée et des récidives.
Le symptôme le plus courant de l'ulcère duodénal est la douleur épigastrique qui survient deux ou trois heures après les repas et qui disparaît avec l'ingestion d'aliments ou la prise d'anti-acides.
Dans le cas des ulcères gastriques, la douleur peut augmenter ou être déclenchée avec l'ingestion d'aliments.
Les nausées et les vomissements sont les symptômes les plus fréquents, même s'il n'y a pas d'obstruction.
Les complications les plus fréquentes sont les hémorragies digestives, la perforation, la pénétration (dans le pancréas, le colon, les voies biliaires, etc.) et l'obstruction (sténose pylorique). La dégénérescence carcinomateuse est observée en cas d'ulcère gastrique.
? Diagnostic
Le diagnostic de certitude est établi grâce à une endoscopie digestive qui permet de visualiser l'ulcère et à une biopsie.
L'infection par Helicobacter pylori peut être confirmée grâce à un examen et à une culture de la biopsie gastrique ou grâce à des méthodes indirectes telles que le test rapide à l'uréase, le test respiratoire à l'urée ou la détection d'anticorps spécifiques.
? Traitement
* Le traitement est basé sur l'administration de médicaments qui bloquent la sécrétion d'acide chlorhydrique et protègent la muqueuse.
* Le traitement de l'infection par Helicobacter pylori, à l'aide d'une combinaison d'antibiotiques et d'inhibiteur d'acide, permet d'éviter les récidives et d'améliorer la cicatrisation.
* Le traitement chirurgical est conseillé dans les cas réfractaires ou résistants au traitement ou lorsqu'un carcinome est suspecté.
* En cas de perforation, l'intervention chirurgicale doit être immédiate, car la vie du patient peut être menacée. - ULNA
- Os interne du squelette du bras.
- URETÈRE
- Les uretères sont deux conduits de calibre irrégulier, issus des pelvis rénaux, dirigés vers le bas, qui croisent verticalement la partie postérieure de la cavité abdominale pour déboucher sur la face postérieure de la vessie, à laquelle ils amènent l'urine qui sera ensuite expulsée.
- URETÈRE DROIT
- Conduit acheminant l'urine produite par le rein droit jusqu'à la vessie, en suivant un trajet rétro-péritonéal.
- URETÈRE GAUCHE
- Conduit acheminant l'urine produite par le rein gauche jusqu'à la vessie, en suivant un trajet rétro-péritonéal.
- URÈTRE
- Conduit reliant la vessie et la vulve, où il débouche par l'intermédiaire du méat urétral, après avoir traversé les fascias supérieur et inférieur du diaphragme uro-génital.
- URÈTRE MEMBRANEUX
- Deuxième partie de l'urètre masculin, qui fait suite à l'urètre prostatique. Son trajet est périnéal, depuis le voisinage de l'anus jusqu'à la région testiculaire, à la hauteur de la base du pénis.
- URÈTRE PÉNIEN
- Troisième partie de l'urètre, qui fait suite à l'urètre membraneux. L'urètre pénien parcourt le pénis dans le sens longitudinal, depuis sa base jusqu'au méat urinaire, où il débouche sur l'extérieur.