Presse
60 Millions de consommateurs HS
Les enfants affûtent dès le plus jeune âge leurs goûts et leur répertoire alimentaire, d'autant plus variés qu'ils auront été très tôt invités à la diversité. Oui, mais voilà, en cas d'allergie alimentaire sévère, comment faire ? Nelly Sabot-Patracone, maman d'un enfant polyallergique, s'est essayée au fourneau pour proposer à son fils des plats aussi sûrs que gourmands et variés. Au menu, 130 recettes pour les jours de fête ou pour le quotidien, afin que le plaisir s'invite aussi à la table des personnes allergiques. Vous testerez bien un petit farci Paris-Bayonne ou un flan parfumé à la lavande ? Dans la famille de Nelly Sabot-Patracone, tout le monde dit oui avec plaisir.
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130 Recettes pour allergies sévères
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Vie pratique Gourmand
Recommandé dans l'article "Les meilleures boulettes d'ici et d'ailleurs"
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Grandir autrement
L'auteure a un enfant polyallergique et, lorsque l'on voit la liste des aliments qu'il ne supporte pas, on craint qu'il ne prenne pas de plaisir à table. Pourtant, sa mère a su lui élaborer ces 130 recettes très variées, en prenant en compte son souci d'une nourriture qui reste équilibrée. Les non-allergiques ne dédaigneront pas ces petits plats !
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130 Recettes pour allergies sévères
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Nutriveig
C’est le grand retour des légumes oubliés dans nos assiettes, et plus précisément des légumes « racines » ou tubercules : topinambours, panais, rutabagas…
Les consommateurs sont en quête d’authenticité et de naturalité, ils ont la nostalgie des légumes qui ont du goût, comme dans les légumes « racines » (qui poussent donc dans la terre). C’est le cas de la betterave, mais chaque légume apporte son petit goût caractéristique : noisette pour le topinambour, sucré pour les crosnes, piquant pour le radis noir…
Ils ont également de drôles de formes, de couleurs et il existe bien plus de variétés qu’on ne l’imagine : une cinquantaine de variétés a refait surface ! Prenons l’exemple de la betterave : le plus souvent on consomme la betterave rouge cuite. Or, il existe de la betterave jaune, blanche, la crapaudine allongée, soit plus de 5 variétés !
Mais faute de rendement suffisant, certaines variétés ont été négligées, comme les crosnes. On a privilégié des variétés plus faciles à cultiver, plus productives, plus homogènes dans la forme, la texture et la saveur.
D’autres légumes ont été abandonnés, tel le rutabaga par exemple, car il est lié à de douloureux souvenirs liés (pendant la guerre où on en mangeait beaucoup !).
D’autres, il faut le reconnaître, demandent une préparation culinaire longue et fastidieuse, comme éplucher les topinambours !
Il y a aussi des désagréments digestifs en raison de leur richesse en fibres (un peu comme les légumineuses type haricots secs).
Côté nutritif, ces légumes n’ont pas d’atouts supplémentaires, ils sont complémentaires aux traditionnels poireaux, carottes, choux et légumineuses (type lentilles, haricots secs…). L’idée est surtout de profiter de leur pleine saison, automne-hiver, où ils offrent leur meilleur potentiel (fibres, vitamines, sels minéraux, glucides)! Ce n’est pas le cas d’une tomate ou d’une courgette vendue avant l’été, qui s’avère très peu nourrissante (du fait d’une culture sans soleil sous serre).
Ensuite, chaque légume racine présente une composition différente et des atouts nutritionnels différents. Seule indicateur visuel : chaque couleur indique une famille d’antioxydants (substance bénéfique pour la santé). Alors variez les couleurs dans votre assiette !
Quelques idées pour se régaler …
Tous ces légumes racines peuvent se cuisiner simplement ou de façon plus gastronomique. D’ailleurs de plus en plus de grands chefs étoilés les ont remis à la carte ! Je vous conseille de démarrer par des légumes proches de ceux que vous connaissez : le panais s’apparente à la carotte, il suffit de le peler ou de le brosser et de l’ajouter dans une soupe, dans un gratin de légumes (avec carotte ou potiron…). Les autres variétés de betteraves se mangent crues en carpaccio ou râpées dans une salade de crudités.
Et pour vous donner plus d’idées voici deux livres très différents :
« Légumes oubliés je vous aime… » (...) : il propose plus de 60 recettes familiales simples à glisser dans nos menus du quotidien (velouté de topinambours, gratin de panais, pot-au-feu de légumes anciens, crosnes aux noisettes…) avec plein d’astuces pratiques (frotter les crosnes dans du gros sel pour éliminer leur peau)
(...)
Retrouvez le blog ici !
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http://www.nutriveig.fr/Article-actualite/detail/id/287
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Légumes oubliés, je vous aime...
Verduras de antaño
me encantan
Républicain Lorrain
Recommandé par Le Réublicain Lorrain dans son dossier "Des bains... de sérénité"
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L'Hebdo le Finistère
Autant utile aux jardiniers qu'aux cuisiniers, ce traité des herbes aromatiques - sans chichi - donne la part belle au texte, fournissant de précieuses informations dans des domaines variés: aspect de la plante (la description permet d'éviter les confusions), histoire (petite piqûre de rappel au sujet des usages passés). médecine (formulations anciennes et actuelles, le tout particulièrement détaillé), et, enfin, cuisine. Ce dernier bénéficiant d'un traitement particulièrement fouillé (140 recettes)!
À découvrir sans tarder par les amateurs du genre.
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Grand traité des herbes aromatiques
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Blog Allergie & Co !
Je vous propose de découvrir le livre de Nelly. Très belle rencontre avec Nelly via les réseaux sociaux, rencontre de maman d'enfants allergiques. On se comprend à demi-mot, des rires sarcastiques sur des situations, des coups de coeurs, des maux... J'ai eu envie de vous faire découvrir Nelly et son livre "130 Recettes pour allergies sévères". L'interview est volontairement longue, mais les mamans confrontées aux allergies se retrouveront dans leur quotidien en lisant le parcours de Nelly...Je vous souhaite une bonne lecture et une belle découverte.
Nelly Sabot en quelques mots : qui êtes vous, où vivez-vous que faites-vous actuellement....
Grande asthmatique en étant enfant j’ai été sensibilisée très tôt à l’influence de l’alimentation sur la santé, par mes parents qui cherchaient avec beaucoup de détermination un moyen d’améliorer mon quotidien.
La notion d’allergies alimentaires a alors été abordée, mais à l’époque, les tests étaient axés sur les allergies respiratoires…
Aujourd’hui je suis une maman, trentenaire, dont le petit garçon est poly-allergique. Mon principal but est de l’aider à bien grandir, à profiter des joies de la vie, et à s’intégrer correctement dans la société, parce que les allergies, même sévères, sont trop souvent considérées comme une tare et sont à l’origine d’exclusions .
Je souhaite également aider les familles dans le même cas que nous, c’est pourquoi j’ai créé un blog que j’alimente avec toutes les informations utiles que je parviens à trouver. Ce blog se veut être un « lieu » de communication également, parceque l’on se sent moins seul en rencontrant des personnes vivant une expérience similaire à la nôtre.
Voici le lien pour y accéder :
http://www.les-recettes-d-hugo.com
Vous pouvez également me retrouver sur Facebook où j’ai ouvert une page : Hugo et les allergies alimentaires.
Qui est allergique chez vous ?
J’ai senti très tôt qu’Hugo avait un problème avec le lait. A la maternité, après chaque tétée, il se tordait de douleur et régurgitait beaucoup…Je l’ai allaité pendant 8 mois, mais en consommant des produits laitiers que je lui ai forcément transmis. Il a souffert pendant plus de 20 mois de Reflux Gastro Œsophagien, pendant plusieurs mois d’eczéma, de soucis respiratoires…
Les médecins le gavaient d’antibiotiques, de cortisone sans jamais tenir compte de mes doutes sur le lait.
Quand je l’ai sevré, j’ai décidé moi-même de lui donner du lait de soja…mais vers l’âge de 10 mois il a fait un œdème de Quincke en mangeant un petit pot bio contenant un soupçon de crème…et nous avons eu très peur !
A l’hôpital, son cas a été pris au sérieux et des tests ont enfin été pratiqués !
Des allergies ont été détectées, les plus courantes, mais nous en découvrions d’autres à chaque visite chez l’allergologue…et j’attendais toujours d’avoir testé un aliment avant de l’introduire dans le régime d’Hugo.
La liste des allergènes s’est allongée au fil du temps et avec elle, notre vie a été complètement chamboulée :
Laits animaux, viande de bœuf et de veau, œufs, crustacés, blé et céréales contenant du gluten, sarrasin, quinoa, arachide, noix, pistache, mandarine, asperges, blettes, épinards, poireaux, oignon, persil, petits pois et pois chiches, lupin, câpres, pignons de pin, moutarde, poivre, curry.
Votre quotidien de maman d'enfant allergique (repas sorties vacances) ?
Pour être disponible pour Hugo, j’ai arrêté de travailler. Ses allergies et sa grande fragilité au niveau ORL et respiratoires n’étaient pas compatibles avec une activité professionnelle…d’autant plus que nous ne trouvions pas de nounou : certaines ne voulaient pas « s’embêter » à garder un enfant allergique pour un salaire équivalent à celui d’un enfant « normal » (eh oui, c’est ce qu’on nous a dit !), les autres ont eu du mal à nous convaincre de leur sérieux et de leur réactivité en cas de problème.
Le quotidien d’une maman d’enfant allergique n’est pas toujours simple, car elle ne peut jamais avoir l’esprit vraiment tranquille : le danger est partout dès que l’on sort de chez soi !
Une maman d’enfant allergique ne peut pas, même exceptionnellement juste faire réchauffer un plat préparé, acheter une pizza ou aller au fast-food du coin.
Quand nous partons en vacances, il me faut prévoir d’apporter avec nous des « provisions », non pas pour faire des économies, mais pour avoir sous la main les produits qui nous sont indispensables. Pour cela il faut penser à les commander à l’avance auprès de sites spécialisés comme Allergie & Co.
Même en vacances, nous n’allons pas au restaurant, nous ne mangeons pas de glaces, de crêpes ou d’autres gourmandises tant prisées par les touristes…
Nous partons toujours dans des appartements où nous pouvons cuisiner et où nous disposons d’un lave-vaisselle pour pouvoir nettoyer toute la vaisselle efficacement avant de l’utiliser pour éliminer les traces d’allergènes laissées par nos prédécesseurs. Par ailleurs nous louons toujours des appartements où les animaux ne sont pas autorisés, Hugo étant aussi allergique aux chats…
Je ne travaille pas pour qu’Hugo puisse manger à la maison à midi…mais il arrive qu’il ait envie d’être avec ses copains. Dans le village où nous habitions sa présence n’était pas vraiment souhaitée, mais il y est allé une fois.
Dans notre nouvelle école il n’y a aucun souci : les menus sont affichés à l’avance pour que je puisse confectionner un panier-repas ressemblant et chaque détail a été étudié avec moi…ce que j’ai apprécié.
Pour le moment Hugo n’a pas éprouvé le besoin de s’y rendre, mais malgré tout, je sais que ce jour-là mon téléphone portable ne me quittera pas et la peur non plus. Malgré toute la bonne volonté du personnel péri-scolaire un accident est possible : les enfants peuvent mélanger leurs couverts, mettre des aliments adangereux dans l’assiette d’Hugo…bref, tant que cela sera possible, la présence d’Hugo à la cantine restera exceptionnelle.
Quand nous sortons, même pour un temps très court, en dehors de chez nous, nous n’oublions jamais la trousse d’urgence avec anti-histaminique, Ventoline, comprimés de cortisone et Anapen…
Il n’y a pas vraiment de place pour l’improvisation dans la vie d’un allergique. Cela dit, même si les allergies nous empêchent de manger tout ce que l’on veut, même si elles nous rendent plus méfiants, plus prudents, elles ne nous empêchent pas de profiter d’autres plaisirs…Hugo et sa joie de vivre permanente en sont la preuve
Et votre livre, pourquoi comment et qu'y a t'il dedans ?
Lorsque le diagnostic est tombé pour Hugo, il nous a fallu vider le contenu de nos placards et changer nos habitudes en cuisine…cela n’a pas été simple au début, car j’ai fait beaucoup d’essais culinaires et puis parce que la peur de l’erreur éventuellement fatale était omniprésente. Nous ne connaissions pas encore tous les allergènes dangereux pour Hugo et tant que nous ne les avions pas testés chez l’allergologue je ne prenais pas le risque de lui donner de nouveaux aliments.
Nous ne connaissions pas non plus tous les mots désignant la présence de lait de blé ou d’œufs dans les compositions des produits achetés (sirop de glucose, caséine, lisozyme...) et dans le doute nous nous abstenions.
Mon mari et moi avons donc fait beaucoup de recherches à ce niveau-là.
Nous avons aussi décidé de manger comme notre fils, pour qu’il ne se sente pas exclu à la maison, mais aussi pour qu’il n’y ait aucune trace d’allergènes chez nous, afin de limiter les risques d’accidents.
Lorsque nous avons recherché des livres de recettes et/ou de conseils pour nous aider, il y a 6 ans de cela nous avons eu beaucoup de mal à en trouver qui satisfassent nos besoins, car les recettes ne contenant pas de blé contenaient du lait ou des œufs ou inversement…
Je me suis donc lancée car il fallait absolument que nous puissions manger avec plaisir, tout en gardant un certain équilibre.
Plusieurs fois des proches qui sont venus manger à la maison ont été agréablement surpris par les plats que j’avais concoctés. Ils m’ont alors suggéré de me mettre en quête d’un éditeur.
Mon mari m’a aussi fortement encouragée à faire publier mes recettes…et ce n’est qu’au bout de quelques mois que je me suis décidée, dans l’objectif d’aider les personnes dans le même cas que nous.
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Au cours des 127 pages de "130 recettes pour allergies sévères", pour un prix de prix maximum de 12,90 €, vous découvrirez des recettes « vite faites » ou plus élaborées, exotiques ou traditionnelles qui trouveront leur place en toutes occasions, au quotidien comme lors des jours de fêtes. Disponible en version papier et ebook.
Qu'est-ce que vous aimez chez Allergie and Co ?
Votre produit chouchou chez nous ?Allergie & Co a été créé par une maman d’enfants allergiques comme moi…elle ne peut donc que comprendre quelles sont mes préoccupations et mes priorités. C’est une personne avec qui on peut communiquer.
Le site quant à lui est coloré et gai et je trouve la recherche par allergènes à exclure très pratique !
Enfin j’aime beaucoup consulter le blog, que je trouve très intéressant.
Mon produit chouchou serait les lasagnes de riz bio, qui permettent de faire des plats assez appréciés. Pour Hugo, c’est plutôt les sucettes Candy Tree, sans blé ni lait et de surcroît bios !
Un conseil pour les mamans ?
Le conseil que je pourrai donner aux mamans, c’est de ne pas s’affoler à l’annonce du diagnostic. Votre enfant ressent tout ce que vous ressentez et le fait de suivre un régime alimentaire très strict ne l’empêchera pas d’être heureux, car le plus important c’est l’amour que vous lui portez.
Pour mieux vivre les allergies, je pense qu’il faut absolument pouvoir entrer en contact avec d’autres parents dans le même cas, ne pas rester isolé(e). On se passerai volontiers des allergies et il arrive qu’on envie ceux qui n’en souffrent pas ; cela dit, grâce à elles on bénéficie d’un lien exceptionnel avec son enfant et on fait de belles rencontres !
Complétez cette phrase ?
Comme le dit l’une de mes amies quebecoises, "on ne peut pas manger ce qu’on veut mais on peut tout faire !" En résumé parce qu’être allergique n’empêche pas d’être heureux !
Une recette fétiche de votre livre et un menu idéal ?
Ma recette fétiche ? C’est difficile à dire…selon l’occasion et l’humeur du jour cela peut changer. Le Risotto de Penne aux artichauts et au chorizo…et le pain d’épices ;-) font partie de mes recettes fétiches.
En entrée brochettes d’escargots et salade verte à la vinaigrette au citron et au miel
En plat, filet mignon à l’italienne et mousse chaude de céleri-rave
En dessert, tarte au citron.
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Recettes Allergies sévères
130 Recettes pour allergies sévères
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Direct Matin
MADE IN NORD LE CHICON ESSAIE DE SE FAIRE UNE PLACE DANS LES ASSIETTES
Manger local et de saison dans le Nord • Pas-de-Calais peut sembler de prime abord peu sexy. En ce moment on a surtout le choix entre la pomme de terre et l'endive. Si la première, sous forme de frites par exemple, peut être très populaire, il n'en va pas de même pour ce pauvre chicon. Selon l'INSEE les ménages français en consomment seulement 5,9 kilos par an, contre 18,5 pour la pomme, par exemple. La rédaction s'est pris de pitié pour ce légume ch'ti et relève le défi du relooking. Revue des bonnes raisons de chanter Endives, je vous aime ... •
LE CHICON N'EST PAS CHER • 80 % de la production française se fait au Nord du bassin parisien •, indique Cathe-rine Decourcelle, présidente de l'association de l'association de producteurs d'endives de France (APEF). Or les Nordistes n'avalent pas tout et " il est constaté partout que la consommation baisse ", appuie Cathe-rine Decourcelle. Du coup " le prix de vente n'a pas décollé depuis dix ans ", autour d'1,50 euro le kilo
LE CHICON EST CH'TI Le made in France est en vogue. Pourquoi pas le made in Nord ? Manger des endives, c'est encourager une filière qui emploie di-rectement quelque cinq mille personnes dans la région, et autant en indirect. D'autant que l'identité ch'ti du produit " fait rigoler ", constate Catherine Decourcelle, mais ne fait pas vendre. Contrairement à la Bretagne, qui parvient bien à communiquer sur l'identité régionale forte de ses produits.
LE CHICON EST BON " Beaucoup ont des préjugés sur les endi-ves. C'est parce qu'ils les ont goûtées à la cantine, souvent mal égouttées ", commente notre endivière. Cette dernière conseille pour les réconcilier avec le légume de l'utiliser à la place des oignons, dans une tartiflette, par exemple. C'est-à-dire les faire revenir avec un peu de matière grasse avant de mettre les pommes de terre et le reblochon (ou le maroilles, pour une variante régionale).
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L'indépendant
Non, le tofu n’est pas réservé aux tables des végétariens ! Et oui, il peut être savoureux. Vous en doutez encore ? Gageons que ce livre saura vous convaincre des bienfaits de cet aliment. Certes, proposé tel quel, il faut bien avouer que le tofu est un peu fade, voire insipide. Mais cet inconvénient peut rapidement se transformer en atout. Véritable caméléon, le tofu s’imprègne de la saveur des aliments avec lesquels il est cuisiné. Il apporte alors une texture originale (goûtez au tofu soyeux pour vous en convaincre!), des saveurs nouvelles, le tout avec peu de calories. Car le tofu est bourré de bienfaits nutritionnels : léger, il est exempt de graisses, et apporte des protéines végétales de bonne qualité. Vous trouverez dans ce livre 70 recettes d’entrées, de plats et de desserts, simples (mais forcément savoureuses!) et judicieusement commentées par Solveig Darrigo, nutritionniste.
De la quiche au tofu et petits légumes au curry au tofu et patates douces, en passant par la mousse soyeuse au chocolat, ces recettes sauront, je l’espère, conquérir vos papilles. Alors, osez le tofu !
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Béatrice Vigot-Lagandré
Solvieg Darrigo-Dardinet
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Blog de l'auteure : Nutriveig
Et voici le dernier né chez Béatrice Vigot-Lagandré, rédactrice assidue du site Nutriveig.fr !
Elle vous propose de découvrir le tofu ferme et le tofu soyeux dans une soixantaine de recettes toujours aussi simples et efficaces, comme elle sait très bien le faire.
Vous allez vous régaler et alléger ainsi vos préparations car le tofu se glisse partout. En effet, il a l’intérêt de remplacer des ingrédients classiques trop gras (crème par exemple) et peut se fondre dans diverses recettes classiques ou originales tout en restant discret.
J’ai aussi mis mon « grain de sel » dans cet ouvrage, afin de présenter cet aliment millénaire d’origine asiatique arrivé depuis une dizaine d’années sur nos tables. J’avoue préférer la version soyeuse dans mes propres recettes, mais celles de Béatrice, avec le tofu sous différentes formes et intégré de l’entrée au dessert, sont bluffantes !
Je vous laisse les découvrir dans ce petit livre joliment illustré par Virginie Mouls.
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Béatrice Vigot-Lagandré
Solvieg Darrigo-Dardinet
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Ouest-France
Forme. Que l'on y fasse des bulles ou que l'on y joue au sous-marin, voici l'art et la manière de savourer ce moment de détente
rien qu'à soi.
L'art du bain ne date pas d'hier ! La reine Cléopâtre s'adonnait à ce plaisir et les Grecs comme les Romains le considéraient comme un acte du quotidien incontournable. Par la suite longuement délaissée car jugée immorale, cette pratique n'est revenue qu'au début du XXesiécle, avec l'arrivée de la salle de bain individuelle. Concurrencé par la douche aujourd'hui, le bain s'impose comme une parenthèse de détente dans nos vies modernes et stressantes. Plonger son corps darts une eau chaude permet en effet de soulager muscles, tendons et articulations et d'éliminer raideurs et tensions. Les règles d'or Pour profiter au mieux de votre bain, choisissez bien votre moment : jamais après un repas pour ne pas perturber la digestion.
L'idéal ? Le soir, en rentrant du travail, avant le dû1er. Afm d'accroître la détente, favorisez une ambiance feutrée et apaisante avec des bougies, une lumière tamisée et, pourquoi pas, de la musique douce. Débranchez le téléphone, et assurez-vous de ne pas être dérangé. La température de l'eau ne doit pas dépasser 38°C : trop chaude, elle énerve et favorise les troubles de la circulation sangume. Au besoin, utilisez un thermomètre. Dans la baignoire, placez un coussin gonflable ou une serviette roulée sous votre nuque. Fermez les yeux, relâchez chaque partie de votre corps. Après 20 minutes environ, sortez progressivement de votre bain, séchez-vous et prolongez cet instant de relaxation en vous reposant quelques instants, bien emmitouflé dans un peignoir. Un instant personnalisé. En additionnant à l'eau une huile essentiel ou des sels, vous bénéficierez des multiples bienfaits des plantes sur l'organisme ! Des idées dans L'arl du bain, Miroslava Stankovic et Silvia Steidle (...)
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Consom'action n°65
LES MAÎTRES BOULETTOLOGUES
L'expert
Pierre-Brice Lebrun est incollable sur les boulettes. Il en a mangé dans le monde entier! Les meilleures? Celles aux viandes rôties au four que faisait sa grand-mère bien sûr. Et sinon, des falafels moitié fèves, moitié pois chiches, dégustés tièdes dans un pain libanais avec de l'hou mous. " Une boulette doit être bonne sans sauce, c'est-à-dire nature. Mais on peut la faire cuire dans une sauce qui lui donnera, quand elle l'absorbera, sa personnalité. "
Les plus étranges? Des boulettes de zébu à Madagascar, d'ours en Finlande («fort, mais délicieux!»), de renne en Scandinavie ...
Cuisson? Pas trop longue surtout. Plutôt à four chaud, ça donne du croustillant dessus, du moelleux dessous. La poêle, c'est plutôt pour réchauffer, ça les rend vite trop compactes.
Sans cuisson? Il faut bien compacter, les mettre 1 à 2 heures au frigo et les manger très vite à la sortie… Amalgame? Il faut avoir le bon geste, bien serrer. Pour que la boulette ne risque pas de se défaire, on peut utiliser de la farine, du blanc d'œuf ou du vinaigre blanc.
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e-Book : Petit traité de la boulette
Pequeño tratado de las albóndigas
ePub : Traité de la boulette
Régal septembre-octobre 2012
En fait de petit traité, c'est à une saga du pois chiche que vous convie ce livre drôle et bien documenté. De la passion, de l'humour et des recettes: tout pour plaire.
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Petit traité du pois chiche
Petit traité du pois chiche
ePub : Petit traité du pois chiche
Nouvelles de Versailles
Envie d'apporter à vos plats une touche d’originalité ? Pourquoi ne pas essayer de cuisiner le fenouil grâce au tout nouveau livre de Béatrice Vigot-Lagandré, “Fenouils, je vous aime… un peu mais passionnément !”.
Ce légume méditerranéen au goût légèrement anisé ravira vos papilles et celles de vos invités. Aussi bon cru que cuit «L’intérêt de cuisiner le fenouil c’est qu’on peut le manger aussi bien cru, en salade par exemple, que cuit, explique la journaliste culinaire viroflaysienne. On peut tout manger dans le fenouil, son bulbe, ses tiges et son plumet. Il s’accommode aussi bien en entrée, qu’en plat ou même en dessert.» De la salade de fenouils aux pommes au tajine de poisson aux fenouils, en passant par le cake ou encore le sorbet, ce sont plus de 70 recettes que livre l’auteur. Elle y dévoile également ses astuces pour bien choisir ce produit apprécié depuis l’Antiquité et connu pour ses vertus médicinales et amincissantes. «On en trouve toute l’année sur nos étals. Il faut qu’il soit bien ferme, ventru, de couleur blanc crème et sans tâche. Les tiges doivent être fermes et le plumet d’un vert éclatant conseille-t-elle. J’utilise plutôt un économe pour éplucher les feuilles extérieures plus dures. Je garde le plumet pour assaisonner un poisson.»
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Le Papetier
Pierre-Brice Lebrun s'intéresse au pois chiche et à son histoire. Cette légumineuse millénaire a été injustement cantonnée à la couscoussière selon lui mais peut être cuisinée de l'entrée au dessert. Ce récit porte sur les origines, l'exode et le déracinement du pois chiche et s'accompagne d'une centaine de recettes de tous les horizons.
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Saveurs mars 2012
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Pequeño tratado de las salsas
Petit traité des sauces
ePub : Petit traité des sauces
Gourmets & Co
Écrire un livre, même petit, sur le pois chiche est déjà une idée pour le moins saugrenue mais le lire de surcroît révèle chez le lecteur une approche de l’existence en général et de la nourriture en particulier qui frôle l’inconscience. Le pois chiche ! Un monde à lui tout seul, d’ailleurs, n’a-il pas la forme du globe terrestre ? On a un certain mérite à l’aimer car l’approche n’est pas facile. Il n’est pas d’une beauté transcendante, un peu sec dans les rapports, il faut s’en occuper comme un bébé, le tremper, le mouiller, le sécher, le cuire longtemps, l’assaisonner, le réduire en purée, ou que sais-je encore. Pierre-Brice Lebrun lui, sait. Il aime le pois chiche au point de s’identifier à lui et d’écrire son livre à la première personne. Il se prend donc pour un pois chiche, ce qui est un cas médical rare ! Mais quelle récompense ! Ils sont manifestement fait l’un pour l’autre et le livre est une véritable histoire d’amour entre un homme et un pois chiche. Pas évident sexuellement, mais pour le reste c’est un régal. L’histoire, des origines au fond du Moyen-Orient à nos jours dans le Lauragais, est un panorama gourmand des cuisines du pourtour méditerranéen où le pois chiche a été, est, et sera un des éléments essentiels. Les recettes du livre illustrent parfaitement l’importance de ce Pisum, un fabacée de la famille des Fabeae, dans les tajines, chorba, soupes, falafels, houmous et autres soccas niçoises ou panisses marseillais, mais aussi dans des préparations moins connues mais fort appétissantes. À vous de goûter. Un livre unique dû au talent de conteur, aux connaissances, à la passion et à l’humour décalé de l’auteur. Plus qu’un livre de recettes, c’est un livre de culture et de civilisation. Le pois chiche ne serait-il d’ailleurs pas le meilleur lien de toutes les cultures méditerranéennes ? Un aliment en commun est déjà le début de la compréhension et donc…Faisons un rêve.
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http://www.gourmetsandco.com/culture/petit-traite-du-pois-chiche/
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Consom'action janvier-février 2012
Ce n'est pas parce qu'on est allergique au gluten qu'on doit se priver de bons gâteaux ! Florence Bourquard a passé 30 ans à expérimenter les farines spéciales pour que son grand frère ne se sente pas exclu. Dans ce petit livre très sympa qui fleure bon la cuisine familiale créative et savoureuse, elle partage des recettes de cakes, quiches, pains et gâteaux, classées par type de farine
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Ebook : 130 recettes sans gluten
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4 saisons jardin bio
Injustement cantonné à la couscoussière, le modeste pois chiche bénéficie enfin d'un traité gourmand, illustré d'une centaine de recettes issues de tous les horizons.
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Libération
Un article intéressant :
Dans son excellent "Petit traité des sauces" ( ed. Le Sureau 2011); Olivier Gaudant nous explique que la sauce hollandaise, cousine de la béarnaise, a des origines très confuses. "Beaucoup y voient une sauce que les huguenots français emportèrent avec eux en Hollande, lors de leur exode au XVIIe siècle, écrit-il en citant également "Le Vieux cuisinier françois" de La Varenne (1721) où l'on trouve "une sauce douce accompagnant les asperges, qui ressemble curieusement à la sauce hollandaise".
Quoi qu'il soit, on peut estimer qu'en politique la sauce hollandaise a véritablement pris le 16 octobre, au second tour des primaires socialistes. Dans le numéro de Elle daté du 28 octobre, Valérie Trierweiler rend un vibrant hommage à son gâte-sauce de compagnon qui "a réussi ce tour de force de réunir tous les ennemis d'hier. Ca m'épate, il m'épate!", s'exclame-t-elle. Lier les tendances dures et molles Cela dit, il faut raison gardée après un tel succès car la sauce hollandaise est une préparation instable et fragile. Elle appartient en effet à cette catégorie savoureuse mais casse-gueule dite des "émulsions" qui consiste à mélanger ensemble deux éléments liquides non miscibles (qui d'ordinaire ne mélangent pas ou mal, ici le beurre fondu et le jus de citron) grâce à un agent émulsifiant, ici le jaune d'oeuf. Au Parti socialiste, la tâche de l'émulsifiant Hollande pour lier les tendances dures et molles de la gauche tout au long des six mois à venir n'est pas des plus simples avec des ingrédients aussi peu miscibles que Manuel Valls et Arnaud Montebourg. Il faut à tout prix que François Hollande évite la surchauffe qui est la plaie majeure de la sauce hollandaise. Aussi, on ne saurait trop lui conseiller le recours au bain-marie pour obtenir une température constante et prévenir la surchauffe des jaunes d'oeufs qui coagulent au delà de 60 degrés.
"La cuisson doit être la plus régulière possible, tout changement de température provoquant la décomposition de la sauce", expliquait à propos de la sauce hollandaise le regretté chef Bernard Loiseau dans ses "Trucs, astuces et tours de main" (ed. Hachette, 1996). On ne saurait suggérer meilleur ligne de campagne électorale. Et l'on pourra aussi toujours méditer cette maxime attribuée à Alfred Hitchcock et reprise par Olivier Gaudant dans son "Petit traité des sauces": "Un meurtre sans des ciseaux qui brillent est comme des asperges sans sauce hollandaise. Sans goût."
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Petit traité des sauces
Pequeño tratado de las salsas
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Nutriveig
Cette fois-ci, elle nous propose des dizaines de recettes à base d’endive, traditionnelles ou revisitées, mais toujours simples à réaliser : salade d’endives aux champignons, Carmine aux rillettes de thon, endives au jambon, poulet à la bière et aux endives…. et même Tatin d’endives.
De quoi vous faire changer d’avis si vous pensez que l’endive est amère, banale et sans intérêt. Croquante lorsqu’elle est mangée crue, elle devient délicieusement fondante une fois cuite. Atout supplémentaire, l’endive est intéressante côté vitamines et sels minéraux, avec un apport calorique plus que raisonnable.
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La Provence
L'auteur souhaite sensibiliser le public à la gestion de l'arbre Dans le cadre du festival du paysage, Jean Laugier, qui travaille à l'Office national des forêts depuis 1 981, est venu présenter son ouvrage "L'âme forestière. Trois siècles d'idéal et d'expérience du corps forestier français". Son ouvrage est une compilation de plusieurs notices, dont le fil conducteur est le déroulement de l'histoire des forestiers. Il y développe deux idées maîtresses : exposer les idées reçues sur le métier (au nombre desquelles on trouve que le forestier est ou productiviste ou protectionniste) afin de pouvoir s'en dégager, et que la forêt est le lieu de compréhension de l'inconscient. "Le forestier est en fait à la fois productiviste et protectionniste, on ne peut dissocier les deux pratiques, il cherche à produire en protégeant, en pérennisant. D'autre part, le forestier a souvent du mal à communiquer, or la forêt a donné jour à beaucoup de réflexions de personnes lambda qui expriment notre inconscient collectif ou individuel, explique le forestier. Mon ouvrage essaie de trouver des pistes, d'émettre des hypothèses, de faire surgir des questionnements. L 'homme est pa if ois trop brutal dans sa relation avec la forêt. .. d'autant plus qu'on se rend compte que sans lui, le système fonctionne." Le forestier aiderait donc à trouver un juste équilibre entre l'homme et le milieu forestier. Juge et arbitre Toutes ces réflexions émanent de sa longue expérience et il œuvre depuis toutes ces années toujours avec le même désir de faire vivre une prospérité rurale tant au niveau fmancier qu'au niveau pratique. "La forêt est aujourd'hui multifonctionnelle : elle est un lieu de ressourcement oit les randonneurs et les chasseurs aiment venir, un lieu où la biodiversité est un enjeu.... Il y a beaucoup de monde en forêt. Le forestier est à la fois juge et arbitre et c'est un véritable exercice acrobatique d'exercer ce métier", ajoute le professionnel de la forêt. "Il faut renouer des relations, faire renaître une économie rurale nécessaire". Tel est son cheval de bataille et le fruit de ses réflexions que l'on peut trouver dans son ouvrage paru aux éditions "Le Sureau".
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eBook : L'âme forestière
L'âme forestière
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Nouvelles de Versailles
LA SAISON DES ENDIVES arrive. Profitez-en pour faire le plein de ce légume peu calorique grâce au livre de l'auteure culinaire viroflaysienne, Béatrice Vigot-Lagandré, "Endives,"je vous aime".
85 recettes originales
«Lorsque mon éditeur m'a, demandé de trouver 85 recettes à base d'endives, j'étais un peu dubitative, explique la journaliste. Il fallait que j'invente des plats autres que la traditionnelle salade d'endives ou le gratin au jambon classique)). Au final, son livre nous offre un large et original choix de recettes, de l'entrée au dessert (surprenant, n'est-ce pas ?), à base de "chicon". De l'endive rouge au foie gras à la tarte tatin aux endives et à l'orange en passant par le crumble d'endive au parmesan, il y en a pour tous les goûts et tous les palais, même les plus délicats. (Beaucoup de gens n'aiment pas l'endive car ils la trouvent trop amère. L'astuce, c'est de couper le cône situé à la base de l'endive, conseille Béatrice. C'est là où se concentre toute l'amertume). Autre petit secret: "Ajouter du sucre ,dans l'eau de cuisson ou bien les badigeonner de miel, de sirop d'érable ou d'agave pour les faire braiser, mijoter ou les mettre au four", ajoute-t-elle.
Dans la même collection, la journaliste culinaire a également sorti, juste avant l'été, un autre livre de recettes sur les fruits rouges. "C'est un livre' pour les gens qui adorent les accords sucré-salé et parfois audacieux", note Béatrice.
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Ouvrages associés :
Endives, je vous aime...
Fruits rouges, je vous aime...
Me gustan los frutos rojos…)
Endives, je vous aime...
La Gazette gourmande septembre 2011
Difficile d'imaginer, avant de se plonger avec surprise et délectation dans ce Petit traité joliment illustré, à quel point la saga millénaire du peuple des pois chiches est passionnante! Car, oui, dans ce livre, les pois chiches sont un peuple, un peuple conquérant qui a traversé les siècles et les océans, qui a abandonné sa terre nourricière pour fonder ailleurs, en Europe, en Afrique, en Asie, au Canada, des dynasties heureuses, sans jamais renoncer à son identité, à sa méditerranéité. L'auteur, chroniqueur gourmand, a toute une nuit écouté les confidences d'un vieux pois chiche sage de Viviers les Lavaur, dans le Tarn : il savait qu'il serait au petit matin récolté et ensaché, il a courageusement profité de ses dernières heures pour raconter, avec beaucoup d'émotion, l'histoire millénaire, édifiante et rocambolesque de son peuple. L'auteur a tout noté et, les larmes aux yeux, il a ajouté à ce surprenant témoignage une centaine de recettes du monde entier, à base de pois chiches, avant de publier cet hommage résolument optimiste, cette ode au déracinement et à l'exode dans laquelle le lecteur croisera les Pink Floyd, Charlemagne, le Pharaon Ptolémée IX, Nicole Croisille, Haroun al-Rachid, Téma de Tlemcen et bien d'autres ... Bref: un livre de cuisine atypique qui se lit comme un roman et dont on ne sort pas indemne.
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Petit traité du pois chiche
Petit traité du pois chiche
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Librairie Le Toqué (page Facebook)
Et on poursuit les lectures de l'été (si si, on y est encore...) : Notre compatriote Pierre-Brice Lebrun récidive, après les excellents Petit Traité de la Boulette & Petit traité des pâtes, avec le Petit traité du Pois Chiche chez Le Sureau (19,50 eur)... l'occasion de découvrir au travers d'un récit sur ses origines et ses périgrinations, une centaine de recettes qui lui rendent hommage. Plus qu'un livre de cuisine, c'est vraiment une belle histoire qui sollicite notre imaginaire et nos papilles...
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Petit traité du pois chiche
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Elle
Oh ! La boulette
Anecdotes, recettes, histoires ... grâce au « Petit Traité de la boulette» (Le Sureau), de Pierre-Brice Lebrun, on saura tout!
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http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/24222
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e-Book : Petit traité de la boulette
Pequeño tratado de las albóndigas
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Sur le blog La fureur des vivres
Pierre-Brice Lebrun a encore frappé. En l’occurrence, avec ce livre il nous mitraille de pois chiche. Un peu maso, on en redemanderait. Pas besoin de lui dire chiche, Pierre-Brice est toujours partant pour nous emmener dans des aventures culinaires. Ici, le pois chiche universel et grand ancêtre de la cuisine est servi à toutes les sauces. Du nord au sud, de l’est à l’ouest, le pois chiche est partout.
P.B Lebrun, étonnant et prolifique conteur, nous narre la saga du pois chiche avec son inépuisable talent. Dans « Petit traité du pois chiche » le récit et l’art culinaire se mêlent pour notre plus grand plaisir. Sans cesse, Pierre-Brice troque son stylo pour la cuiller de bois et ces morceaux choisis sont aussi appétissants les uns que les autres. Sous le ton humoristique et léger, l’air de rien, ce livre est une mine de connaissances. L’auteur, très bien documenté, a fait l’inventaire de tout ce qui s’est écrit et dit sur le pois chiche depuis des millénaires. Et pourtant, le livre n’en est pas indigeste, ni lourd, au contraire, il se lit avec plaisir l’esprit sans cesse aiguisé par la curiosité.
Se mettant dans la peau d’un pois chiche – et pour un costaud comme lui, c’est un exploit ! - il nous raconte l’histoire de sa famille, remontant un arbre généalogique très ancien et allant voir du côté des cousins proches ou éloignés qui ont émigré aux quatre coins du monde. Ça en fait du monde ! et par conséquent ça en fait des recettes ! Depuis le temps que ce pois est cultivé et même avant quand il était simplement cueilli, le nombre de cuisiniers et de cuisinières, d’origines diverses, qui se sont creusés les méninges pour inventer et améliorer des recettes. Car des amuse-bouches au dessert, les pois chiches se cuisinent dans tous les styles, c’est incroyable le nombre d’ingrédients avec lesquels il s’allie pour de jouissives unions. Moi qui raffole de l’houmous et des falafels, des salades de pois chiche, des soupes et des chapatis, je pars en quête des ingrédients qui me manquent pour tester quelques recettes. Cela permet d’illustrer le propos de manière gourmande et pratique, les recettes s’insérant parfaitement dans le récit lui donnant vie et nous donnant faim.
À propos d’illustrations, tout le long du livre, l’œil est attiré par des d’exquis petits dessins. Il convient de saluer le remarquable travail d’illustratrice de Mireille Gayet, la complice habituelle de P.B Lebrun. Une fois de plus avec grand talent, elle habille le livre de ses superbes et délicats dessins, parsemant l’ouvrage de pois chiche, donnant vie aux recettes proposées ou nous emmenant en voyage au rythme des histoires de Pierre-Brice.
Un livre à s’offrir et à offrir, pour des plaisirs de lectures et de probables plaisirs gustatifs. Le livre est agréablement mis en page et joliment relié, du bon travail de la part de l’éditeur et de l’imprimeur. Un petit ouvrage qui a sa place dans une bibliothèque de gastronome bibliophile.
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lireestunplaisir
Pierre-Brice Lebrun est un gourmet, un journaliste gourmet. Il partage avec les autres ses passions culinaires. On se souvient du « Petit traité de la boulette », rempli d'humour, qui lui a valu le Prix Cerise sur le gâteau 2009 du Festival des littératures gourmandes. Cette fois, cet auteur liégeois s'attache au pois chiche, sympathique légumineuse millénaire, injustement cantonnée à la couscoussière, capable pourtant de briller de l'entrée au déssert. Et l'auteur en fait une brillante démonstration. On apprend tout sur son origine, son exode, son déracinement : une belle aventure culinaire ! On apprend même à bien cultiver le pois chiche ! Et comme l'auteur gourmand manie aussi l'humour, il a parsemé (c'est le cas de le dire) son ouvrage de quelques calembours délicieux !
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Terres de Cognac n°83 juillet/aout 2011
Pour tout savoir de cette légumineuse souvent cantonnée à agrémenter le couscous, ce petit traité nous livre les origines et l'implantation du pois chiche, autour d'une centaine de recettes de l'entrée au dessert.
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