Article sur le Petit traité de la soupe chez Ouest-france

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http://www.adverbum.fr/roger-excoffon-rault-david-atelier-perrousseaux_ouvrage-perrousseaux_4itkob6k386b.html

Lireestunplaisirurbanbike

 

Voilà un bouquin sympa qui a l'énorme avantage d'être disponible en papier. Ou, tout de suite, en PDF (...et donc lisible sur un Mac ou un iPad).

Que les choses soient claires, je ne suis pas un fan des typos de Roger Excoffon pour la bonne raison que je ne les connaissais pas en détail, pas réellement séduit par leur graphie, leur architecture. Mais le gros apport d'un tel bouquin est de faire tomber tous les a priori...

C'est en discutant avec Brice You qui est un fanatique intégral de ce typographe que j'ai commencé à jeter un oeil sur ces typos. C'est Brice à nouveau qui m'avait signalé le premier livre en PDF de David Rault, Guide pratique de choix typographique (voir cette chronique sur urbanbike) qui m'a permis de mieux cerner le personnage parmi tant d'autres créateurs.

Aujourd'hui, je ne suis pas encore passé à l'acte (utiliser du Excoffon dans mes propres missions) mais, à tout le moins, je le découvre plus encore et la sortie de ce livre, Roger Excoffon, Le gentleman de la typographie, vient agréablement compléter le peu que je savais sur ce personnage.

Ce bouquin a une singularité, celle de faire parler pas mal de personnes qui l'ont connu dont Yves Perrousseaux (qui vient juste de le rejoindre pour, je leur souhaite, continuer leurs longues discussions), Robert Massin et bien d'autres.

D'ailleurs, Jean-François Porchez écrit exactement, je le confesse, ma perception d'il y a encore quelques mois...!
À mes débuts, alors étudiant, durant la fin des années 1980, les Mistral, Banco et Choc étaient dans le panier des alphabets ringards qu'il ne fallait pas employer pour autre chose que de s'amuser à reproduire la vitrine provinciale d'une boucherie, d'un boulanger ou d'un coiffeur. C'était en tout cas le message des graphistes en vue de l'époque, des professeurs de graphisme, des journalistes, etc. Pour reprendre un discours léger, mais bien rodé dans le milieu des agences et des studios de l'époque : les alphabets d'Excoffon n'étaient pas modernes.

C'est tout l'intérêt du livre de David Rault, remettre dans son jus, son époque le travail de cet autodidacte, le restituer et nous le faire découvrir...

Bref, je ne vais pas en dire plus.
Si vous êtes graphiste, ce second opus de David Rault doit impérativement rejoindre son Guide pratique de choix typographique -- que vous avez, rassurez-moi, à portée de clavier ou de main...!

Seul petit point auquel on s'habitue très vite, le livre est en anglais et français et il vous faudra parfois sauter une page pour poursuivre votre lecture...

 


http://www.urbanbike.com/index.php/site/roger-excoffon-le-gentleman-de-la-typographie?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter




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Revue Prescrire Mai 2011 n°331

Ecrit par une kInésithérapeute et une psychomotricienne, cet ouvrage d'anatomle en rapport avec le mouvement" montre comment le bassin de la femme bouge et se transforme, notamment lors de l'accouchement, en fonction des positions et des mouvements (mouvements du rachis et des membres Inférieurs en particulier) (1)

Les premiers chapitres font cheminer le lecteur pas à pas dans la compréhension de l'anatomie du bassin, statique et en mouvement Les nombreux dessins anatomiques du bassin sont souvent replaces par "transparence" sur le dessin du corps de la femme, ce qui permet d'intégrer d une façon concrète les notions exposées Dans les chapitres suivants, les auteures intègrent la descente du fœtus dans le bassin, puis l'analyse des diverses positions d'accouchement. Enfin, les différents mouvements que la femme peut effectuer pendant le travail et l'accouchement sont envisagés, avec la description de leurs conséquences sur le bassin. Des propositions concrètes de postures sont présentées, sans néanmoins être dogmatiques.

Tout au long de cet ouvrage, les illustrations, principalement des dessins réalises par l'une des deux auteures, sont claires et précises. Des propositions pratiques afin de repérer les éléments d anatomie sur soi-même, les imaginer ou expérimenter l'effet de positions sur la configuration du bassin, sont ajoutées a maintes reprises. Un Index des mots utilisés renvoyant a leur définition est placé en fin d'ouvrage, suivi d'une page de bibliographie.

Cet ouvrage précis et facile à lire peut  être utile aux professionnels de la naissance. Ils peuvent aussi mieux comprendre et expliquer l'anatomie en rapport avec les mouvements du bassin, dont les notions sont difficiles a bien percevoir Les futurs parents peuvent aussi y trouver des conseils et des Informations pour mieux connaître le corps de la femme et mieux se préparer à l'accouchement.




http://www.adverbum.fr/le-chant-prenatal-potel-marie-laure-editions-desiris_ouvrage-desiris_4kmkqb3942jw.html?PHPSESSID=glt0h2oakqnugbvkl07ccve054

Question Parents

Cet ouvrage aborde toutes les aspects, physiologiques et pratiques du chant prénatal. Il en explique le pourquoi et le comment, à chaque étape de la grossesse. Les ateliers de chant prénatal proposent des exercices originaux basés sur la voix et la respiration qui permettent aux femmes enceintes de s'approprier pleinement de leur grossesse et cet événement majeur et unique qu'est l'accouchement.




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Graphos (blog)

Les éditions Atelier Perrousseaux, qui nous ont déjà gratifiés de deux superbes volumes d’une Histoire Typographique qui est devenu un ouvrage de référence incontournable sur le sujet, viennent de faire paraître un nouvel ouvrage sur un sujet fort peu traité par les historiens de la typographie, j’ai nommé la « lettre française d'art de main » ou « lettre façon d'écriture », plus connue sous le nom de « lettre de civilité ». À la frontière de la typographie et de la calligraphie, ces lettres sont calquées sur une des cursives de l’époque et servaient à imprimer notamment des manuels éducatifs. On les composait dans ce caractère bien particulier en se disant qu’il était plus facilement lisible à l’âge où l’on apprend à lire et à écrire justement cette cursive scolaire. En dehors de l’ardu problème typographique qui consiste à rendre par des rectangles de plomb toutes les subtilités d’une cursive avec ligatures, trait continu et caetera, ces lettres sont très esthétiques et loin, dans leurs formes, des caractères romains et italiques auxquels une typographie plus classique nous a habitués et plus proches d'une cursive gothique que nous étudierons bientôt chez Graphos.
Découvrez donc dans cet ouvrage les liens qui ont perduré tardivement entre typographie et calligraphie, les influences réciproques (si, si) entre ces deux modes de production du texte écrit, cela vous donnera bien des idées et des modèles desquels vous inspirer pour calligraphier ce caractère un peu oublié du corpus calligraphique habituel. Les nombreuses illustrations sont accompagnées d’un texte remarquable de Rémi Jimenes qui met parfaitement en valeur à la fois la naissance, l'évolution et l’utilisation typographique de ce caractère mais aussi les influences de et sur la calligraphie de cette cursive, bien loin des modes d'inspirations qu’y puiseront plus tard Hermann Zapf ou Alan Blackman.
Bref, pour une fois un ouvrage qui met en lumière les nombreuses interrelations entre typographie et calligraphie et une bien belle source d’inspiration pour nous autres scribes.
>[Sylvie Litté]

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Le Bibliomane moderne (blog)

La sortie du beau livre de Rémi Jimenes sur les caractères de civilité était attendue avec impatience par de nombreux bibliophiles. Il vient heureusement compléter la série d’ouvrages d’Yves Perrousseaux sur l’histoire de la typographie.

La tâche était ambitieuse, aucun ouvrage en langue française de cette ampleur n’avait encore couvert le sujet, un comble pour un art typiquement français !

Sa lecture est un vrai plaisir ; on y apprend des tas de choses sur les « lettres françaises d’art de main », des origines à ses développements successifs (je dirais même ses mutations) jusqu’au XIXe siècle. On savait le style de ces caractères dérivé des écritures de chancellerie. Une nostalgie de copiste, pourriez-vous penser, que nenni ! Il s’agissait, au contraire, d’une volonté délibérée des humanistes de la Renaissance de « faire moderne » et d’affirmer la grâce et le caractère (c’est le cas de le dire !) des lettres françaises sur les italiennes.

Si Geoffroy Tory, le précurseur, défend la langue française, qui n’a rien à envier en beauté à la latine, c’est pourtant aux caractères romains qu’il s’attache à fixer les justes proportions. Il avait bien envisagé de traiter en parallèle des lettres françaises: « Si j’eusse pu trouver mention par écrit de nos susdites lettres de forme et bâtardes … je les eusse mis en ordre selon leur due proportion ». Et oui, seulement, il ne risquait pas d’en trouver en 1529, le bougre, puisque c’est Robert Granjon, en 1557, qui, le premier, publia un ouvrage en cursive gothique !

A l’origine de toute typographie il y a une écriture manuscrite que le graveur prend pour modèle, le style italique de Griffo des éditions aldines cherchait aussi à se rapprocher de l’art inimitable de la main. Mais les caractères de civilité se rapprochent plus fidèlement encore de la souplesse des lettres cursives ; à l’origine, ce sont des variantes de la gothique bâtarde (ce qui est plutôt paradoxale car l’écriture gothique n’était plus à la mode depuis quelques décennies, au point que Pétrarque écrivait déjà qu’elle avait été inventée pour autre chose que pour être lue !). Ensuite, il faut un modèle, les Maitres d’écriture royaux sont de bons candidats ; Pierre Habert, calligraphe et valet de chambre du Roi, a pu inspirer Granjon, tandis que Pierre Hamon, calligraphe réputé, a inspiré Philippe Danfrie.

Il faut avoir l’œil exercé pour distinguer tel type à tel autre, mais comme les autres ouvrages de la série, celui-ci est très pédagogique et il vous donne l’inventaire des différents types, comme ceux de Granjon, par exemple : les capitales, les bas de casse, les ligatures, les finales. Voilà l’art de main décodé !

Cette nouvelle typographie sera contrefaite malgré le privilège dont bénéficie Granjon pour 10 ans, et se diffusera rapidement, en France mais aussi à l’étranger, notamment dans les pays du Nord. Pourtant, le caractère de civilité ne parviendra jamais à supplanter les lettres romaines. Il est d’un usage plus difficile pour l’imprimeur, et le crénage des types les rend fragiles à la presse.

Ce que le livre de Rémi Jimenes montre bien c’est la fortune en dent de scie de cette typographie. A la mode de 1560 à 1620, elle disparait presque complètement au XVIIe siècle, pour revenir en force au début du XVIIIe siècle. Seule exception confirmant la règle, le météore Pierre Moreau, qui invente une nouvelle typographie tirée des arts de la main, selon une démarche proche de celle de Robert Granjon. Mais il appartient à la corporation des Maitres-écrivains et non à celle des imprimeurs et son expérience sera vite brisée par ces derniers.

Le gothique cursif s’offre donc un come back tonitruant dans les années 1730 grâce à Jean Baptiste de la Salle, le fondateur des Ecoles Chrétiennes, qui publie en 1703 Les Règles de la Bienséance et de la Civilité Chrétienne. Cette fois le pli est pris, il deviendra difficile ensuite de publier un livre de civilité qui ne soit pas composé avec ces caractères, sauf bien plus tard, lorsque les éditeurs ne verront plus de motifs à suivre un style que plus personne n’utilise et ne lit facilement. C’est l’âge d’or de la civilité, plus de 200 ouvrages ont été comptabilisés entre 1703 et 1863 !

Les lettres sages et bien alignées de Granjon et de ses suiveurs étaient principalement réservées aux textes officiels, aux ordonnances, privilèges et autres épitres dédicatoires, mais le Gothic Revival de la période suivante touchera surtout les éditions populaires et la production de colportage : mauvais papier, souvent manipulés par les enfants, reliures modestes (si on excepte le maroquin bleu de Duru pour l’exemplaire du Baron Pichon des Règles de la Bienséance !). Ces manuels faisaient coup double, celui d’enseigner les règles de savoir-vivre en même temps que l’écriture manuscrite. L’ouvrage montre bien les cousinages entre la typographie de civilité et les manuels de calligraphie destinés à enseigner l’art de bien former les lettres, la ronde et la bâtarde.

On regrette juste que cette partie consacrée aux productions proprement calligraphiques des Maitres-écrivains, les Louis Senault, les Honoré-Sébastien Roillet, etc, ne soit pas plus développée. Sans doute par ce que leurs ouvrages étaient plus souvent gravés que typographiés.

A la fin de l’ouvrage un appendice donne un inventaire utile des principales éditions de livres scolaires rédigés avec des caractères de civilité, depuis les Règles de la Bienséance de JB de la Salle, pour qui voudrait commencer une collection de ces impressions pittoresques.

Impossible de traiter sur une seule page, fut-elle internet, de toute la richesse du livre de Rémi Jimenes, Le mieux reste de le lire. Bon, je vous laisse, et j’y retourne…

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Histoire du livre (blog)

Il est bien trop rare que les éditeurs modernes –entendons, les éditeurs d’aujourd'hui– accordent suffisamment d’importance à la «mise en livre» des manuscrits qui leur sont confiés. Pourtant, les travaux d’histoire du livre montrent bien non seulement que le texte ne saurait exister seul, mais que le livre en tant qu’objet apporte au lecteur, par les dispositifs matériels qu’il met en œuvre, bien autre chose que le seul texte. «Mettre en livre» avec compétence et élégance un livre qui traite précisément d’un aspect de la «mise en livre», à savoir l’histoire du caractère typographiques, est tout particulièrement bien venu.
On ne peut par conséquent qu’être reconnaissant à l’éditeur Atelier Perrousseaux de l’ouvrage que Rémi Jimenes a consacré aux Caractères de civilité d’avoir réussi à nous offrir un livre dont l’élégance formelle se combine avec un contenu textuel de qualité. L’étude de la typographie et des caractères reste trop peu développée en France, et encore mal intégrée aux travaux d’histoire générale du livre –une exception remarquable étant bien évidemment celle du Musée de l’imprimerie dirigé par Alan Marshall à Lyon. L’exposition d’Écouen sur Geoffroy Tory et son Champfleury constitue aussi, en ce moment même, une excellente occasion d’approcher ce domaine.
Rémi Jimenes, doctorant au CESR de Tours, définit les caractères de civilité, alias lettre française d’art de main, comme « une typographie gothique reproduisant l’écriture cursive qu’employaient les hommes de plume français au milieu du XVIe siècle » (p. 10). Histoire et civilisation du livre donnera de cet élégant volume un compte rendu circonstancié, mais le sommaire que nous publions ci-dessous donne une bonne image d’un contenu présenté à la manière d’une pièce de théâtre classique.

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http://www.adverbum.fr/un-siecle-d-olympisme-en-hiver-monnin-eric-editions-desiris_ouvrage-desiris_456.html?PHPSESSID=2ffu1s240rns1d0ejdnev0otr6

La "Revue Olympique"

Les diverses éditions des Jeux Olympiques d'hiver ont été le décor privilégié de nombreux athlètes pour inscrire leurs plus belles performances dans la légende du sport hivernal. C'est ce que nous rappelle ici Eric Monnin, professeur français d'éducation physique à l'Université technologique de Belfort-Montbéliard et ancien champion de judo, au fil des chapitres de son histoire des Jeux Olympiques d'hiver. Il décrit la place essentielle de cette compétition sur la scène sportive internationale, de la première édition tenue en 1924 à Chamonix jusqu'à nos jours. Tout en privilégiant une approche historique, l'auteur n'en néglige pas pour autant l'aspect émotionnel indissociable à la compréhension de toute compétition sportive. En effet, les pages vous font vivre le bonheur et le désarroi des athlètes au cours des diverses éditions des Jeux. Richement documenté par des images d'archives du Comité International Olympique, De Chamonix à Vancouver: un siècle d'Olympisme d'hiver est une lecture qui s'adresse aux curieux, mais également aux passionnés souhaitant parfaire leurs connaissances des sports et des Jeux Olympiques d'hiver.




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Article paru dans Le Point n°2009 du 17 mars 2011 !




Aricle dans la revue Plume mars-mai 2011

Aricle dans la revue Plume mars-mai 2011




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Madame Vigot-Lagandré présentée par le journal l'Indépendant ! Honneur aussi aux légumes !




Article de "La Marseillaise"

Article de "La Marseillaise"

 

Le Pays de Forcalquier-Montagne de Lure est ancré dans l'histoire de la typographie. Le village de Lurs y accueille «Les Rencontres Internationales de Lure», créées en 1952 par Maximilien Vox et, plus récemment, la Communauté de Communes a été labellisée «Pays du Livre et de l'écriture», dans le but de fédérer les professionnels du livre et de leur donner les moyens d'exercer leur activité. Après avoir habité Forcalquier, Yves Perrousseaux est maintenant installé à Reillanne: «Actuellement à la retraite, j'occupe mon temps, avec un plaisir certain,à réaliser une Histoire de l'écriture typographique, en plusieurs tomes, de Gutenberg ou 20' siècle». Le Bas-Alpin explique qu'«une telle démarche n'avait pas été réalisée depuis les travaux de Francis Thibaudeau au début des années 1920. Je veux transmettre, d'une façon didactique, ce patrimoine culturel mal connu, en France du moins,qui a fixé à travers les époques,les modes et l'évolution des techniques, la pensée de l'homme dans le livre et d'une façon plus générale dans l'imprimé». L'ensemble de cette Histoire de l'écriture typographique, en plusieurs volumes,est conçu pour proposer une vision générale et complète du sujet. C'est en quelque sorte une véritable encyclopédie de la typographie,et c'est une première dans le monde.«De gros problèmes de santé m'ont fait perdre plus de deux ans,continue YvesPerrousseaux. Mais que les lecteurs se rassurent : le troisième volume vient de paraître, le quatrième est en préparation,il sera consacré au 19e siècle...»

L'atelier Perrousseaux l'éditeur vient de s'offrir une cure de jouvence et arbore, désormais un nouveau logo, remis  à jour de la première livrée créée par Yves Perrousseaux à la fin des années 1960,dans le que l'on retrouve toujours le hibou,vénérable emblème de la maison. Ce changement n'est pas uniquement cosmétique, puisqu'il préfigure la nouvelle ligne éditoriale de Perrousseaux pour 2011. En effet,outre les ouvrages de typographie et de graphisme qui continuent d'être le cœur de la collection, l'année qui vient verra arriver également deux nouvelles sous-catégories au sein du catalogue: Bandes dessinées et Internet. La collection Bandes dessinées présentera des ouvrages d'analyse et de réflexion autour du 9"art, point de convergence logique des thèmes chers à l'atelier Perrousseaux (l'image et le langage) ; les deux premiers titres,Entre l'élite et la plèbe de Jean-Noel Lafargue et L'espace blanc entre les cases de Stéphane Deschamps, sortiront en fin d'année 2011. L'autre nouveauté, la collection Internet, aura pour but d'éditer des ouvrages de typographie adaptés et destinés aux développeurs Web, répondant clairement à des problématique en perpétuelle évolution. Les deux premiers titres, qui traiteront de la Lisibilité de la typographie sur Internet et des Grilles & de la macro-typographie de la page Web, signés respectivement par Aurélien Foutoyet et Anne-Sophie Fradier, seront publiés à la fin 2011.




http://www.adverbum.fr/topoguide-du-corps-biel-andrew-editions-desiris_ouvrage-desiris_ga5nl9orgtg.html?PHPSESSID=mgkacf2dcn005sd9l29kllukd7

Topoguide du corps humain

Article paru dans "Décision santé" du mois de décembre 2010

LE LIVRE DU MOIS

Comment palper le corps

Loin des traités anatomiques à la française, voici un ouvrage d'un nouveau genre. Il ne vise pas l'exhaustivité. L'objectif pédagogique est plutôt d'apprendre au lecteur à repérer, puis à palper les différentes structures. L'ensemble des viscères et organes sont donc écartés. En revanche, le lecteur est conduit peu à peu à reconnaître les différents systèmes musculaires et squelettiques.

À la manière des sentiers de randonnées, il s'agit ici d'explorer le corps humain à la manière d'un territoire inconnu. Au-delà de nombreuses astuces pédagogiques, la lecture est largement aidée par 1200 dessins. Si l'ouvrage est destiné en priorité à des ostéopathes et autres massothérapeutes, il sera utile à de nombreux soignants curieux de ces nouvelles thérapies.